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Par conséquent, un écart important et persistant s'opére entre le prix des immeubles et la variation de ses déterminants fondamentaux économiques comme les salaires ou le rendement locatif. Serec : études de marchés, études sectorielles, conseil, formation. Concrétement, le secteur immobilier national souffre plutot d'une inadéquation de l'offre et de la demande à cause de plusieurs paramètres: prix des logements, leur qualité, leur emplacement et leur consistance, capacié de financement des acquéreurs …. Selon Rachid khayatey, vice-président de la FNPI, « cette inadéquation s'est aggravée ces dernières années à cause des augmentations conséquentes des taxes sur le secteur. » Ces augmentations ont commencé en 2012 avec le relèvement du taux des droits d'enregistrement de 3% à 4% pour les acquéreurs de logements (hors social) et de terrains devant être construits dans les 7 ans (sinon le taux monte à 6%). Cette tendance s'est notamment poursuivie avec l'application d'une série d'augmentations pour les frais de la Conservation Foncière depuis novembre 2016, touchant aussi bien les promoteurs que les acquéreurs.
Les opérations de restructuration englobent l'ensemble des programmes traitant l'habitat insalubre (programme Villes sans bidonvilles, restructuration de quartiers, réhabilitation des tissus anciens…). Au total, le gouvernement et les parties concernées ont traité 290 544 ménages bidonvillois. En plus, 30 465 bâtisses menaçant ruine ont été conventionnées et les conditions de vie de 1 119 379 ménages ont été améliorées. Vers une année 2018 faste pour le secteur immobilier marocain | Immobilier marrakech : Vente et location à Marrakech. Un recul de 1, 7% des mises en chantier depuis 2010 La production reste certes un bon indicateur mesurant la santé du secteur immobilier, mais il doit être corroboré par les mises en chantier afin de sonder le dynamisme du marché. Le nombre d'unités mises en chantier, toutes catégories confondues, a atteint 365 413 à fin 2019, soit un recul de 1, 7% par rapport à 2010. Par phases, elles ont affiché une hausse de 26, 6% de 2010 à 2011, suivies d'un retrait de 37% entre 2011 et 2014. Suite à cela, une stabilité a été enregistrée jusqu'en 2018. En revanche, en 2019, elles se sont améliorées de 17, 7%.
Quoi qu'il en soit et en dépit de toutes les difficultés que connaît le contexte économique en général, affectant du coup le secteur immobilier, les promoteurs ont essayé de maintenir leur production de logement, conformément à la stratégie gouvernementale visant à absorber le déficit en logement.
Partout dans le monde, la pandémie de Coronavirus a occasionné la crise presque dans tous les secteurs. Certes, Maroc est un pays qui séduit les investisseurs immobiliers, il a également connu la crise suite à la pandémie. Avec les confinements et les fermetures de frontières, les investisseurs venus de l'étranger sont en baisse. Cependant, le marché immobilier marocain n'est pas pour autant menacé si des solutions sont mises en place. Des impacts de la pandémie de Covid-19 Le marché immobilier au Maroc ne peut pas se passer des impacts du Coronavirus. Si ce secteur est en difficulté, c'est à cause de l'instabilité liée au crise. En général, le prix de l' immobilier maroc est en baisse. Même si la situation peut varier d'une ville à l'autre, la baisse des prix est une tendance générale. Immobilier : dix ans, quatre ministres et toujours un déficit de 400 000 logements - La Vie éco. Le secteur ne trouve pas la stabilité entre cette baisse et l'explosion des prix des matériaux de construction. Bien que la baisse est flagrante, le prix reste cher pour la classe moyenne. On peut souligner qu'il n'y a pas d'offre bien adaptée à la classe moyenne surtout dans les grandes villes comme Marrakech, Casablanca, Rabat, … En plus, les offres de prêts immobiliers proposées par les banques sont également en baisse.
La promotion immobilière au Maroc continue sa professionnalisation et sa diversification notamment avec l'ouverture de ce marché à la concurrence internationale. Secteur immobilier au maroc 2014 edition. Elle enregistre des performances notables et participe au développement de multiples activités connexes. En 2018, le nombre de logements autorisés a été de 120. 000, la consommation du ciment était d'environ 14 millions de tonnes et les crédits immobiliers ont atteint près de 267 milliards de DH. Cette étude sectorielle dresse un état des lieux de ce secteur au Maroc sur la base d'enquêtes SEREC et de multiples sources d'information nationales et internationales.
[source: Ministère de finance, HCP (prévisions de 2017 & 2018)] Participation des secteurs "BTP" et "Immobilier" au PIB Marocain La participation des secteurs de BTP et de l'immobilier pour la création de la valeur ajoutée affiche une quasi-stagnation entre la période 2007 – 2016, avec une moyenne de 6. 2% pour le secteur du BTP et 11, 9% pour le secteur de l'immobilier et services annexes. Une tendance qui a l'air de persister en 2017. En 2017, le PIB Marocain a connu une légère croissance de 1, 45% entre le premier et le 2ème trimestre de 2017. De même pour le domaine de BTP qui a connu une croissance de l'ordre 1, 89% sur la même période. Secteur immobilier au maroc 2010 relatif. [source: Ministère de finance] Evolution de la création de l'emploi vs BTP Le nombre net de postes d'emploi créé annuellement a une tendance baissière surtout depuis 2014. En fait, Après une création moyenne de postes d'environ 116. 000 emplois annuellement entre 2007 et 2011, la variation de création nette d'emploi a connu une décélération drastique depuis 2014 en enregistrant une création nette de 21.