Recuperateur D Eau 400 Litres
Spectacle terminé depuis le 22 août 2015 De Georges Beller, Loïse Dejadaut, Benjamin Isel Mise en scène Georges Beller Avec Georges Beller, Loïse Dejadaut, Séverine Ferrer, Benjamin Isel, Michèle Kern, Stéphane Russel Charlotte, apprentie actrice, rêve de percer à Hollywood et compte sur la pièce 100% Dracula dont c'est la générale ce lundi pour lancer cette carrière internationale, en attendant le « rôle de sa vie » comme le lui a promis Pierre, son amant qui se fait passer pour un grand producteur de cinéma. Mais Gilles, l'auteur et metteur en scène de cette pièce, vient leur annoncer en plein rendez-vous galant une nouvelle qui risque de mettre ce beau projet en péril... A leur grand désespoir et enfer et contre tout, ils vont tout faire pour la jouer coûte que coûte! L'arrivée de la femme de Pierre ne fera que compliquer un peu plus la tâche, ce dernier va s'enfoncer dans les mensonges les plus délirants pour notre plus grand plaisir... Vont-ils réussir à jouer ce soir? That's the question...
Enfer et contre tout avec George Beller et Severine Ferrer | Théâtre | Weclap
⭐ 𝓢𝓪𝓲𝓼𝓸𝓷 𝟐𝟏/𝟐𝟐 | Spectacle historique (1h15) ⭐ ————————————————— 💬 𝓔𝓷 𝓺𝓾𝓮𝓵𝓺𝓾𝓮𝓼 𝓶𝓸𝓽𝓼 1888. À 3 mois de l'inauguration de la Tour Eiffel, les ouvriers se mettent en grève. Comment Eiffel va-t-il gérer cette crise? Mais, au-delà de l'anecdote, que s'est-il passé pour que, à la fin du XIXème siècle, la France entière haïsse à ce point Gustave Eiffel, rendu responsable du suicide de milliers de personnes? Découvrez comment le génie visionnaire Eiffel fut jeté en pâture aux Français. 1h20 d'Histoire et d'histoires, par un comédien inspiré, lumineux, passionnant et drôle. 🌟 Prix du meilleur auteur du Festival d'Avignon 2018. ▸ Auteur: Alexandre Delimoges ▸ Mise en scène: Alexandre Delimoges & Robert Kiener ▸ Avec Alexandre Delimoges 📌 𝓟𝓸𝓾𝓻 𝓻𝓮́𝓼𝓮𝓻𝓿𝓮𝓻: 02 40 47 34 44 | 📣 𝓛'𝓪𝓿𝓲𝓼 𝓭𝓮 𝓵𝓪 𝓹𝓻𝓮𝓼𝓼𝓮 ▹ « Sur le papier, donner une leçon de mécanique à un public non qualifié semble risqué. En multipliant les adresses directes aux spectateurs et les clins d'oeil à l'époque contemporaine, Alexandre Delimoges, auteur et metteur en scène – parfois acteur – franchit l'obstacle haut la main.
« Il a vu Jésus à tous les entraînements, rigole Julien Hattem. Mon but était de le tuer. Je voulais qu'il abandonne. » Façon de parler, bien sûr. Même si Jean Pascal a bien failli le prendre au mot. Mais le « feu » qui brûle en lui, dixit Cuellar, encore à 39 ans, l'a gardé en selle. Ainsi que son équipe derrière lui, qui l'a « rassuré » dans ses moments de remise en question. « Nous l'avons aidé à se ressaisir mentalement et physiquement, soutient Cuellar. Nous sommes ici ce soir [vendredi], et nous sommes victorieux grâce à tout cela. » « Des fois, je pensais qu'il était fâché » Jean Pascal a complimenté son équipe après l'affrontement contre Meng Fanlong, alors qu'il célébrait avec tout son entourage dans l'antichambre des locaux de ProBox TV. Jean Pascal a été soulevé par ses entraîneurs à la suite de sa victoire. Orlando Cuellar, entre autres, « un entraîneur expressif avec beaucoup d'émotions », souligne-t-il. « Je n'étais pas beaucoup habitué à ça, avec Stéphan Larouche et Marc Ramsay.
Conférence raconte une commémoration mouvementée de la sanglante prise d'otages du Théâtre Doubrovka de Moscou, en 2002. Cette évocation saisissante est mise en scène par Ivan Tverdovski qui, cette fois, ancre sa fiction dans la réalité. Le nouveau cinéma russe persiste dans sa veine grinçante avec le quatrième long métrage d'Ivan Tverdovski qui, depuis ses débuts, a toujours opté pour des sujets dérangeants. Conférence a une qualité supplémentaire par rapport aux précédents: ce n'est pas une fable un peu théorique, comme son étrange Zoologie (2016) où une femme se retrouve soudain dotée d'une queue d'animal. Ici, le cinéaste s'intéresse à une tragédie bien réelle: la prise d'otages par des terroristes tchétchènes du Théâtre Doubrovka, à Moscou, en octobre 2002, qui fit près de 170 morts (attaquants compris). Mais Tverdovski laisse de côté l'aspect polémique de l'événement – le fait que la majorité des décès n'aient pas été causés par les terroristes mais par les forces spéciales d'intervention qui prirent d'assaut le théâtre après y avoir diffusé des gaz létaux.