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La liste des présidents de la République italienne présente les personnes ayant exercé la fonction de chef de l' État italien depuis l'instauration de la République en 1946. Auparavant, ce pays avait pour régime une monarchie parlementaire, bouleversée par l'arrivée du fascisme au pouvoir, en 1922. En Italie, le président de la République italienne est élu par les députés, les sénateurs et des représentants régionaux pour un mandat de sept ans qui peut être renouvelé. Des douze présidents de la République italienne, seuls Giorgio Napolitano et Sergio Mattarella ont été effectivement réélus pour un nouveau septennat. Le président Napolitano a cependant démissionné au bout de près de deux ans. Historique [ modifier | modifier le code] Président Élection Début du mandat Fin du mandat Parti politique Notes Enrico De Nicola ( 9 novembre 1877 – 1 er octobre 1959) 1947 1 er janvier 1948 12 mai 1948 PLI Chef provisoire de l'État italien entre 26 juin 1946 et 31 décembre 1947. Premier chef de l'État républicain, il promulgue la Constitution italienne le 27 décembre 1947.
Alain Poher, président du Sénat, devient président de la République par intérim (du 28 avril 1969 au 20 juin 1969 [ 1]). Références [ modifier | modifier le code]
Il en oublie la transcendance, la force de l'institution, la loi de la modestie gravitationnelle qui veut que ce soit l'homme qui s'acculture au statut et non le contraire: c'est la chute d'Icare! Hollande finit le mandat en laissant le charisme au bord du chemin... Hollande entre mezzo voce dans l'épure. Il revendique, pour mieux se différencier de son concurrent, la «normalité», l'apaisement, la simplicité. Son «Moi, Président» vise à télécharger en humilité, en sobriété une fonction qu'il juge «hystérisée» par Nicolas Sarkozy. Lui aussi tend à vouloir inoculer le vaccin de ses propres caractéristiques psychologiques à l'institution. Pas plus que l'anticonformisme dont se voulait porteur son prédécesseur, la banalité ne sied aux exigences de l'habitus du chef de l'État. Tout au long du quinquennat le costume flottera à la recherche d'une impossible martingale. La France ne saurait se réduire aux synthèses solferinesques de motions éléphantesques. À rebours de l'exhibitionnisme, Hollande n'en sera pas moins rattrapé, dévoré aussi jusque dans l'intimité de sa vie privée par cet insatiable accélérateur de particules médiatiques qu'est devenu l'espace public.
Le Royaume-Uni et les monarchies du Continent sont depuis longtemps converties à la démocratie parlementaire, à cette particularité près que le chef de l'État est héréditaire et désigné par le nom de roi ou reine, un système qui n'a pas que des inconvénients! Le régime parlementaire gouverne aussi toutes les jeunes républiques européennes fraîchement émancipées de la dictature ou de l'oppression, qu'il s'agisse de l'Allemagne, de l'Irlande, de la Finlande ou des États du sud et de l'est. Seul le Portugal s'en distingue. S'étant libéré de la dictature en 1974, à un moment où la France faisait encore figure de modèle politique, il a adopté un régime semi-présidentiel très semblable à celui de la Ve République. Le référendum de trop En France, les pouvoirs du président de la République vont être encore accrus par le référendum du 24 septembre 2000 qui introduit le quinquennat, soit un mandat de même durée que l'Assemblée législative (cinq ans). Ce référendum de trop va déséquilibrer les institutions au profit de l'hôte de l'Élysée...